[Quête officielle] Pillage sur l’île
Re: [Quête officielle] Pillage sur l’île
Sur ordre du Baron, je m'occupais des villageois réfugiés dans la cour du Chatelet.
Je decidais de réunir tous les travailleurs de la scierie ! De solides gaillards sachant manier la hache et d'autres outils tranchants.
" Messieurs, bien que vous ne soyez pas soldats de formation, certains d'entre vous sont aptes à défendre la ville contre ses envahisseurs. D'après mes ouïes-dires, vos bagarres après le travail à la taverne sont légendaires - il est temps de mettre votre force au service du courage - et le courage au service du village. "
Les pillards allaient s'en doute viser dans un premier lieu l'épicerie ou la cave-à-vin. Etait-il possible de tendre une embuscade à ces attaquants monstrueux ?
Je decidais de réunir tous les travailleurs de la scierie ! De solides gaillards sachant manier la hache et d'autres outils tranchants.
" Messieurs, bien que vous ne soyez pas soldats de formation, certains d'entre vous sont aptes à défendre la ville contre ses envahisseurs. D'après mes ouïes-dires, vos bagarres après le travail à la taverne sont légendaires - il est temps de mettre votre force au service du courage - et le courage au service du village. "
Les pillards allaient s'en doute viser dans un premier lieu l'épicerie ou la cave-à-vin. Etait-il possible de tendre une embuscade à ces attaquants monstrueux ?
Lopo des Equus, Chevalier damné, est mort de maladie ( Decanoct X).
Ses dernières actions ont dissous les pièges d'une alliance proposée par Rebelles et Drows.
Ses dernières actions ont dissous les pièges d'une alliance proposée par Rebelles et Drows.
Re: [Quête officielle] Pillage sur l’île
L'ensemble de la population avait trouvé refuge dans le Chatelet du Baron .
Je connaissais très bien les lieux, que j'étais régulièrement concerté par ce dernier , parce qu'il avait besoin de certains de mes conseils.
Mais je ne pouvais pas encore me reposer , parce que j'étais convoqué à un conseil extraordinaire.
Je fu conduit dans mes quartiers - ordre du Baron - et c'est à ce moment là que je rendis compte que j'avais oublié une course importante dans une masure à l'orée des bois .
Je convoqua un corbeau , ecris rapidement un message, et l'envoya à la famille que j'aurais du visiter plutôt dans la journée.
"Mes plates excuses, de terribles évènements sont entrain de se dérouler dans le village , je suis donc confinée , et je ne pourrais pas vous rendre visite pour le moment . Prenez soin de vous .
Lusérina"
Le corbeau s'envola, et j'attendit qu'un des sujets du baron vienne que quérir pour cette fameuse réunion
Je connaissais très bien les lieux, que j'étais régulièrement concerté par ce dernier , parce qu'il avait besoin de certains de mes conseils.
Mais je ne pouvais pas encore me reposer , parce que j'étais convoqué à un conseil extraordinaire.
Je fu conduit dans mes quartiers - ordre du Baron - et c'est à ce moment là que je rendis compte que j'avais oublié une course importante dans une masure à l'orée des bois .
Je convoqua un corbeau , ecris rapidement un message, et l'envoya à la famille que j'aurais du visiter plutôt dans la journée.
"Mes plates excuses, de terribles évènements sont entrain de se dérouler dans le village , je suis donc confinée , et je ne pourrais pas vous rendre visite pour le moment . Prenez soin de vous .
Lusérina"
Le corbeau s'envola, et j'attendit qu'un des sujets du baron vienne que quérir pour cette fameuse réunion
La pire des perversions n'est rien par rapport aux sévices que peut infliger une Chamane.
La corruption de mon âme sera à la hauteur de la souffrance ressentie...
La corruption de mon âme sera à la hauteur de la souffrance ressentie...
Re: [Quête officielle] Pillage sur l’île
Nous arrivâmes à la ferme que j'avais décidé d'assiéger. Xavier me suivait de près, Peut-être un peu trop près mais qu'importe. Une fois le portail ouvert, il me demanda d'un signe de la tête de ranger mon arme, histoire de ne pas affoler de suite les habitants. Il décida donc de commencer les festivités, venant à bout assez rapidement de la mère sans doute, enfin si la flèche qui transperça son crâne lui appartenait...
Le fils de cette pauvre dame vint se ruer sur nous, une fourche entre les mains. Il semblait être en train de labourer une parcelle de son petit potager, le mignon. Je fis signe au vampire de me le laisser. Il fonçait tête baissée dans ma direction, hurlant comme un porcelet qu'on égorge lentement. Des larmes coulaient abondamment sur ses joues sales. Sa fourche passa à quelques centimètres de mon corps, elle aurait touché si je n'avais pas fait un écart d'un pas sur la droite. Je l'attrapais pas l'épaule, stoppant nette sa course, et le regardais droit dans les yeux, un sourire en coin.
"Tu es plutôt mignon, gamin. Dommage que tu te sois ainsi rebellé contre moi, j'aurais pu t'apprécier..."
Mes lèvres vinrent caresser les siennes tandis qu'il vociférait des insultes à mon égard, puis mon sabre vint lui détacher la tête du reste de son corps, faisant gicler du sang sur mon corps.
La suite de l'assaut fut brève, le père de famille succomba des mains de Xavier, et les pillards prirent possession des lieux, cherchant de quoi se remplir les poches ou la panse. J'étais quant à moi à la recherche du butin, car, pour bien commencer, j'avais choisit de m'attaquer à la ferme d'une riche famille.
C'est dans la chambre parentale que je mis la main sur pas loin de 1200 stells, trop peu pour une pareille famille mais le début d'une petite fortune néanmoins. Cependant ma prospection fut vite gâchée par une dérangeante découverte. Il y avait à l'étage de quoi coucher quatre personnes. Et les quatres couches avaient été utilisés récemment.
Prise de colère, je redescendis au rez de chaussée, où les pillards riaient grossièrement en jouant avec ce qu'ils avaient trouvé "d'amusant" dans la partie habitable de l'ensemble. J'agitais nerveusement la bourse assez volumineuse dans laquelle pesait le début de ma fortune, faisant tinter aux oreilles de tous le bruit strident des pièces d'or se cognant les unes aux autres.
"C'est pas bientôt fini oui? Vous êtes des gamins de 12 ans ou quoi? On a un gros problème, il nous manque une victime, sûrement une gamine du même âge que le gosse qui a perdu la tête. Elle ne doit en aucun cas s'échapper, sinon on est grillés, c'est clair? Ah, et elle possède sans doute le reste de la petite fortune de sa famille, ou du moins sait où on peut trouver ce fameux reste. Alors ramenez la moi, et vivante, sinon elle pourra difficilement parler. Je garde le magot à ma ceinture, celui qui me ramène cette peste pourra bénéficier d'un bonus sur son salaire, voir plus si affinités... Au boulot!"
Je cherchais qui manquait chez nous et ne vis pas l'abruti et son arc. Tentant difficilement de contenir ma colère, j'ordonnais à ceux qui étaient encore là de retrouver cet empoté.
"Ramenez moi Dunk, faudrait qu'il pense à arrêter de faire cavalier seul quand même, sinon je l'abandonne ici avec les cochons du proprio."
Le fils de cette pauvre dame vint se ruer sur nous, une fourche entre les mains. Il semblait être en train de labourer une parcelle de son petit potager, le mignon. Je fis signe au vampire de me le laisser. Il fonçait tête baissée dans ma direction, hurlant comme un porcelet qu'on égorge lentement. Des larmes coulaient abondamment sur ses joues sales. Sa fourche passa à quelques centimètres de mon corps, elle aurait touché si je n'avais pas fait un écart d'un pas sur la droite. Je l'attrapais pas l'épaule, stoppant nette sa course, et le regardais droit dans les yeux, un sourire en coin.
"Tu es plutôt mignon, gamin. Dommage que tu te sois ainsi rebellé contre moi, j'aurais pu t'apprécier..."
Mes lèvres vinrent caresser les siennes tandis qu'il vociférait des insultes à mon égard, puis mon sabre vint lui détacher la tête du reste de son corps, faisant gicler du sang sur mon corps.
La suite de l'assaut fut brève, le père de famille succomba des mains de Xavier, et les pillards prirent possession des lieux, cherchant de quoi se remplir les poches ou la panse. J'étais quant à moi à la recherche du butin, car, pour bien commencer, j'avais choisit de m'attaquer à la ferme d'une riche famille.
C'est dans la chambre parentale que je mis la main sur pas loin de 1200 stells, trop peu pour une pareille famille mais le début d'une petite fortune néanmoins. Cependant ma prospection fut vite gâchée par une dérangeante découverte. Il y avait à l'étage de quoi coucher quatre personnes. Et les quatres couches avaient été utilisés récemment.
Prise de colère, je redescendis au rez de chaussée, où les pillards riaient grossièrement en jouant avec ce qu'ils avaient trouvé "d'amusant" dans la partie habitable de l'ensemble. J'agitais nerveusement la bourse assez volumineuse dans laquelle pesait le début de ma fortune, faisant tinter aux oreilles de tous le bruit strident des pièces d'or se cognant les unes aux autres.
"C'est pas bientôt fini oui? Vous êtes des gamins de 12 ans ou quoi? On a un gros problème, il nous manque une victime, sûrement une gamine du même âge que le gosse qui a perdu la tête. Elle ne doit en aucun cas s'échapper, sinon on est grillés, c'est clair? Ah, et elle possède sans doute le reste de la petite fortune de sa famille, ou du moins sait où on peut trouver ce fameux reste. Alors ramenez la moi, et vivante, sinon elle pourra difficilement parler. Je garde le magot à ma ceinture, celui qui me ramène cette peste pourra bénéficier d'un bonus sur son salaire, voir plus si affinités... Au boulot!"
Je cherchais qui manquait chez nous et ne vis pas l'abruti et son arc. Tentant difficilement de contenir ma colère, j'ordonnais à ceux qui étaient encore là de retrouver cet empoté.
"Ramenez moi Dunk, faudrait qu'il pense à arrêter de faire cavalier seul quand même, sinon je l'abandonne ici avec les cochons du proprio."
Re: [Quête officielle] Pillage sur l’île
- Oups....
Mon tir avait fait mouche. En même temps, mes tirs font toujours mouche, sinon, c'est que je ne l'ai pas voulu... Sans vouloir me vanter. Mais pas sur la bonne personne. Je n'avais as prévu que cette grognasse se mette sur la trajectoire de la flèche au dernier moment. Peut-être qu'avec un arc un peu plus puissant... Va savoir. C'est le vampire qui risquerait de faire la gueule un ptit moment, il semblait bien vouloir profiter de la fermière. Perso, je voyais pas ce qu'il pouvait lui trouver, mais bon, chacun ses goûts comme on dit. La petite blonde par contre, c'était bien plus intéressant.
Du coup, ben va falloir que je me fasse tout petit pendant un moment. Histoire de me faire oublier. Au pire, je balancerais le gamin, vu qu'il venait de lâcher sa flèche peu après... Enfin, je trouverais bien un truc à dire quoi !
Le vampire s'était lancé à la poursuite de la danseuse à l'assaut de la ferme, ils venaient d'y entrer pour la piller après s'être amusé avec les proprios. Tant mieux pour eux, j'allais me faire oublier, et puis, j'aimais pas vraiment les maisons, tout ça. Y a pas vraiment de place pour recharger en toute tranquillité. C'est pas que je n'aimais pas utiliser mon épée, mais si je pouvais l'éviter, je m'amusais bien plus avec mon arc ! J'en profitais pour faire le tour du terrain. Il suffisait de pas grand chose, d'un coup de chance pour tout faire basculer. Le temps que tous ces débiles investissent les lieux, d'autres fermiers pourraient arriver, et lents comme ils étaient... Je fis un petit détour pour récupérer mes flèches, avec un peu de chance, on ne pourrait plus m'accuser de la mort de la fermière au passage.
Tiens, il y avait du mouvement dans le coin ! On aurait dit une... Je m'approchais discrètement, le mouflet me suivait toujours et décidait de calquer ses mouvements sur les miens. Bon, ça allait encore, il était étonnamment discret le ptit. Mais oui, c'était bien une enfant qui s'enfuyait de la ferme. La petite avait pris une petite longueur d'avance (ça m'apprenait à faire le malin devant un admirateur !), mais elle était tellement effrayée qu'elle ne faisait pas attention à ses traces, me facilitant la tâche pour la pister. La traque me prit cependant une bonne demi-heure, il fallait prendre quelques précautions pour pouvoir l'attraper à coup sûr. A nous deux, nous réussîmes à la prendre en tenaille, de façon à ne lui laisser aucune échappatoire, et je l'attachais avec les moyens du bord en attendant d'avoir mieux, le gamin la retenant selon mes indications.
- Maintenant écoute-moi bien petite. Si tu fais ce que je te dis, t'as peut-être une chance de t'en sortir. Tu vas me suivre bien gentiment et nous dire s'il y a quelque chose à prendre. C'est ta seule chance de pouvoir t'en sortir. Je peux rien te promettre de plus.
Je doutais qu'elle attribua la moindre attention à mes paroles vu qu'elle ne faisait que pleurer. Sitôt maîtrisée, nous reprenions aussitôt la route vers la ferme dans un silence ponctuée par les sanglots de l'enfant.
Nous reprenions le chemin, ponctué par les sanglots de la jeune fille. Je me plaçais derrière pour palier à tout risque d'échappée de la petite, tenant fermement mon arc et une flèche déjà encochée, prêt à tirer à tout moment.
- Petite, si tu essaies de t'enfuir, je serai obligé de tirer. C'est bien compris ?
Voilà, un petit coup de peur pour qu'elle se contente de faire ce que je lui avais dit. J'espérais secrètement qu'elle m'écoute, de toute façon, je ne comptais pas la tuer si elle essayait de s'enfuir.
Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais un sale pressentiment en revenant à la ferme, j'étais bien loin de me douter que Rosalie avait envoyé des guignols à la recherche de la fille avec promesse de gain et à la mienne.
Mon tir avait fait mouche. En même temps, mes tirs font toujours mouche, sinon, c'est que je ne l'ai pas voulu... Sans vouloir me vanter. Mais pas sur la bonne personne. Je n'avais as prévu que cette grognasse se mette sur la trajectoire de la flèche au dernier moment. Peut-être qu'avec un arc un peu plus puissant... Va savoir. C'est le vampire qui risquerait de faire la gueule un ptit moment, il semblait bien vouloir profiter de la fermière. Perso, je voyais pas ce qu'il pouvait lui trouver, mais bon, chacun ses goûts comme on dit. La petite blonde par contre, c'était bien plus intéressant.
Du coup, ben va falloir que je me fasse tout petit pendant un moment. Histoire de me faire oublier. Au pire, je balancerais le gamin, vu qu'il venait de lâcher sa flèche peu après... Enfin, je trouverais bien un truc à dire quoi !
Le vampire s'était lancé à la poursuite de la danseuse à l'assaut de la ferme, ils venaient d'y entrer pour la piller après s'être amusé avec les proprios. Tant mieux pour eux, j'allais me faire oublier, et puis, j'aimais pas vraiment les maisons, tout ça. Y a pas vraiment de place pour recharger en toute tranquillité. C'est pas que je n'aimais pas utiliser mon épée, mais si je pouvais l'éviter, je m'amusais bien plus avec mon arc ! J'en profitais pour faire le tour du terrain. Il suffisait de pas grand chose, d'un coup de chance pour tout faire basculer. Le temps que tous ces débiles investissent les lieux, d'autres fermiers pourraient arriver, et lents comme ils étaient... Je fis un petit détour pour récupérer mes flèches, avec un peu de chance, on ne pourrait plus m'accuser de la mort de la fermière au passage.
Tiens, il y avait du mouvement dans le coin ! On aurait dit une... Je m'approchais discrètement, le mouflet me suivait toujours et décidait de calquer ses mouvements sur les miens. Bon, ça allait encore, il était étonnamment discret le ptit. Mais oui, c'était bien une enfant qui s'enfuyait de la ferme. La petite avait pris une petite longueur d'avance (ça m'apprenait à faire le malin devant un admirateur !), mais elle était tellement effrayée qu'elle ne faisait pas attention à ses traces, me facilitant la tâche pour la pister. La traque me prit cependant une bonne demi-heure, il fallait prendre quelques précautions pour pouvoir l'attraper à coup sûr. A nous deux, nous réussîmes à la prendre en tenaille, de façon à ne lui laisser aucune échappatoire, et je l'attachais avec les moyens du bord en attendant d'avoir mieux, le gamin la retenant selon mes indications.
- Maintenant écoute-moi bien petite. Si tu fais ce que je te dis, t'as peut-être une chance de t'en sortir. Tu vas me suivre bien gentiment et nous dire s'il y a quelque chose à prendre. C'est ta seule chance de pouvoir t'en sortir. Je peux rien te promettre de plus.
Je doutais qu'elle attribua la moindre attention à mes paroles vu qu'elle ne faisait que pleurer. Sitôt maîtrisée, nous reprenions aussitôt la route vers la ferme dans un silence ponctuée par les sanglots de l'enfant.
Nous reprenions le chemin, ponctué par les sanglots de la jeune fille. Je me plaçais derrière pour palier à tout risque d'échappée de la petite, tenant fermement mon arc et une flèche déjà encochée, prêt à tirer à tout moment.
- Petite, si tu essaies de t'enfuir, je serai obligé de tirer. C'est bien compris ?
Voilà, un petit coup de peur pour qu'elle se contente de faire ce que je lui avais dit. J'espérais secrètement qu'elle m'écoute, de toute façon, je ne comptais pas la tuer si elle essayait de s'enfuir.
Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais un sale pressentiment en revenant à la ferme, j'étais bien loin de me douter que Rosalie avait envoyé des guignols à la recherche de la fille avec promesse de gain et à la mienne.
Dernière modification par Crynus le 13 mars 2015, 00:08, modifié 2 fois.
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Re: [Quête officielle] Pillage sur l’île
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Dernière modification par Arohia_Bestaani le 21 septembre 2015, 16:30, modifié 1 fois.
Re: [Quête officielle] Pillage sur l’île
Jhara n'aimais pas Krob et ses deux autres compagnons que Gardeb, Xavier et "Rosa" avait laissés "l'accompagner" pour aller faire un repérage au village de...
Elle ne se souvenait même plus du nom de ce foutu village !
De toute façon elle ne s'en souviendrai même plus après l'avoir pillé, songea-t-elle avec un sourire de prédateur sur les lèvres.
Le seul qu'elle respectait dans le groupe de truand qui avait choisit de passer au "râteau du pillage" ce village paumé était Gardeb.
Un gars bon dans son domaine, en l’occurrence le fait d'étriper des gens et de débusquer des cibles pour des arnaques et autre subtilités de leurs métiers communs, quelqu'un qui ne causait pas trop mais n'en réfléchissant pas moins. En un mot quelqu'un de professionnel.
Ça devenait trop rare en ce moment dans le métier pour se permettre de pinailler sur les associations qu'on lui proposait
Jhara avait déja bossé deux fois au part avant avec Gardeb.
Une fois sur un braquage à main armée dans un petit guichet de la banque Arsène Lupin et tout s'était effectué rapidement et sans bavure même pas un blessé et un butin repartit équitablement. Du grand art.
L'autre fois elle n'avait bossé que sur un cambriolage particulièrement difficile dans la demeure d'un nain particulièrement paranoïaque des voleurs, où Gardeb et l'équipe de escrocs avec lesquels ils s'étaient associés, avaient absolument besoin de récupérer, sans laisser aucune trace, un objet essentiels pour une arnaque avec des nobles Namida, qui à ce qu'elle avait compris allai rapporter très très gros au vu du salaire qu'on lui avait versé seulement pour la "récupération" de l’objet en question.
Alors quand il lui avait parlé de ce pillage et du potentiel butin pour le faible danger même si au début elle avait été réticente à le croire elle avait finit par accepter de s'associer avec lui pour cette "ballade à la campagne entre gens de bonne compagnie".
La ballade s'était vite transformée en chevauchée nocturne accompagnée d'une nourriture qui quand elle n'était pas froide était souvent brulée ou difficilement considérable comme mangeable.
Donc l'ambiance de la bonne compagnie au bout de quatre jours de voyage commençait à s'en faire ressentir, les remarques de Rosalie pour essayer de relever l'ambiance, les fanfaronnades de Dunk et les blagues grasses et vaseuses de Krob et des deux autres bandits de bas étages qui l'accompagnait partout, commençait sérieusement à lui taper sur les nerfs.
C'est pourquoi lorsqu'ils avaient commencé à voir apparaitre dans le ciel les fumée de la vingtaine de foyer du trou qu'ils s’apprêtaient à "imposer royalement" comme on dit dans le jargon rebelle, elle s'était immédiatement proposée pour partir en éclaireur.
C'était sans compter que Xavier suggère quelqu'un d'autre et naturellement Krob et ses deux brutasse de compagnons avaient choisit de lui tenir compagnie...
Du coup dès qu'ils s'étaient suffise ment éloignés du reste du reste du groupe de pillards.
Elle avait prétexté un soucis de selle et en avait profité pour les laisser prendre leur avance.
Elle les avait ensuite suivit de loin réfléchissant à la folie de son engagement dans ce coup: pour l'instant elle n'avait rien touché mise à part le vent des promesse de Gardreb et elle commençait à s'impatienter. Et elle n'aimait pas ce vampire et son élégance qui puait le sadisme, elle ne les connaissait que trop bien les "gentlemans" de son genre: tous pourris jusqu'à la moelle. Plus jamais elle ne ferai confiance à quelqu'un de leur espèce.
Elle continua à ruminer ses pensée tout en restant à couvert du sous bois et en surveillant attentivement les trois cons de premier ordre qui avançaient joyeusement sur la route à l'approche de la 'entrée du village.
Elle ne fut pas surprise de les voir rapidement entourés par les quelques gardes en faction devant le baraquement à l'entrée du village.
Nan mais ils imaginaient quoi ? Que le village serait défendu que par quatre péon avec leur fourche qui fuient à la vu du premier homme en arme qui dégaine son épée ? Que les locaux ne seraient pas surpris par leurs sales gueules d'étrangers et qu'il les accueilleraient avec des fleurs et un fut d'Abervik débouché pour l'occasion?
Et les avortons, non seulement ils se font prendre comme des crétins congénitaux, mais en plus, ils se rendent !!!
Ils ne pouvaient pas au moins essayer d'en blesser un pour aider leurs copains pillards ? ?
Ce n'était pas croyable, qu'ils auraient voulu foutre leur expédition le plus au fond possible qu'il ne se s'y seraient pas pris autrement...
Un doute commença à s'installer dans son esprit.
Elle allait devoir tirer ça au clair. Sois ils étaient vraiment de leur coté et elle allait peut être tenter un truc pour les sortir d'affaire, sois ils étaient des putains vendus et elle pouvait leur promettre un mort courte et douloureuse.
A la pensée des trois imbéciles éviscérés ses lèvres s'étirèrent un instant en un sourire mince et tranchant, comme elle l'était elle même pour ceux qui s'amusait à l’embêter d'un peu trop près.
Jhara attachât son cheval à un arbre sortit de quoi à diner frugalement de ses fontes.
Après avoir dénoué le foulard rouge qu'elle portait autour du coup et qu'elle ne portais jamais "au travail" elle le plia soigneusement et le rangea dans es fontes.
Puis, elle se grima le visage et les mains avec un mélange de terre et de cendre, graissa les articulation de son armure de cuir ainsi que la lame de son épée en acier bleuté et de ses différentes dagues.
Elle patienterai jusqu’à la nuit avant de s'avancer plus en avant dans le village.
La nuit avait toujours été sa meilleure amie pensa-t-elle avec un sourire.
[HRP]Jahra attend la nuit au couvert du bois à un peu moins d'un kilomètre du village. Elle a diné frugalement. [/HRP]
Vous avez été convoqué par le Baron de Gnarl à un conseil pour organiser la défense du village.
Vous traversé la cour envahie par les réfugiés du villages qui n’ont pas réussis à trouver une place dans les salles du chateau. Deux ou trois feu commence déja à s’allumer pour la cuisine du soir. Vous hâtez le pas, vous ne voudriez pas être en retard au rendez vous que vous à fixé Sir de Cynferth. Vous franchissez d'un pas rapide la porte qui ouvre sur l’escalier ouest du château et vous montez les marche jusqu’au premier étage. Là vous débouchez sur un palier de deux mètres carrés où déjà plusieurs personnes semble discuter dans l’éclairage du soleil couchant qui passe à travers le papier huilé de la fenêtre.
Vous reconnaissez à son visage jovial l'abbé Mc Bonald, Harold le menuisier du village et la commerçante Lusérina en pleine discussion dans un angle du palier et dans un autre angle un peu à l’écart l’homme qui possède la plus forte carrure du village: c’est Bold le dirigeant de la scierie.
Au milieu du pallier le second de la Garde de l’Aube reconnaissable à son tabar bleu ciel, le responsable des Chercheurs d'émeraude de la région et le tenancier du Nain Bougon - nommé Gérard Bougon sont en pleine discussion et visiblement partage le même avis sur le sujet dont ils parlent.
Vous voila rassuré, vous n’êtes pas en retard. C’est alors que vous prêtez un peu plus d’attention à la porte de chêne massif, mal fermé à cause de l’humidité, que tout le monde semble éviter avec soin.
Vous vous en rapprochez et vous comprenez la cause du malaise des autres invités au conseil.
Dans la porte entrouvert vous voyez le Baron en pleine discussion avec Markand le chef de la garde de l’aube qui occupe depuis maintenant 3 mois, l’ancienne barbacane désaffecté au sud est du château.
Aux éclats de voix qui vous parvienne et à la couleur du visage des deux protagonistes vous comprenez que la discussion semble avoir pris un mauvais bord:
Georferd de Cynferth: "Markand vous êtes indigne de ma confiance!
Cela fait quatre heure que vos gents ont capturés trois bandits à l'entrée du village et vous ne m’avez même pas fait parvenir un seul message pour m’informer des informations que vous avez recueilli depuis tout ce temps. Si aucun villageois n’étais venu me prévenir je n’aurai même pas été au courant et j'aurai sans doute raté des informations cruciales pour la défense du village.
Encore si il n’y avais que cela, je vous aurais pardonné. Mais oser me refuser le soutient de vos hommes pour la défense du village en arguant que votre ordre de mission se borne seulement à la défense du château de Gnarl, ça je ne vous le pardonnerai jamais ! Ce château n’as aucune raison d'être si je laisse des pillards détruire les habitations des gens qui habitent sous sa protection.
Où est votre honneur Markand ? je vous parle de défendre le logis des mes vassaux. Pas d’affronter un cyclope en duel dans une arène! Et vous, vous oser me rétorquez que vous avez reçu des ordres vous demandant d’éviter toute perte humaine et que vous jugez le château plus sûr à défendre que le village? Vous n’avez aucun honneur Markand!"
Markand: Vous voulez poser carte sur table Baron ? Très bien. Vous n’avez pas confiance en moi ? et bien moi non plus je en vais pas vous le cacher, je n’ai pas confiance en vous !
Votre sens de l’honneur et du devoir n’a aucun sens pour des gens qui connaissent la réalité de la vie, Sir.
La vie est dure! Et putain bien assez pour qu’on en rajoute!
Des types comme vous j’en ai déjà croisé des dizaines sur des champs de bataille, étendu sur le sol boueux de sang, parce qu’ils avaient sous estimés leurs ennemis et surestimé leurs forces.
Les pillards ne nous ferons aucune merci soyez en certain, alors inutile de risquer la vie de vos hommes dans le village alors qu’une fois acculée à la forteresse les pillards se rendront vite compte de leurs impuissance.
Quand à mes hommes..."
Quelqu’un vous écarte de la porte et la pousse en entrant, provoquant ainsi l’interruption de la discussion qui commençait à s’échauffer.
Le jeune homme qui viens de vous bousculer vous le reconnaissez lorsqu’il s’approche de son père, en effet la ressemblance est frappante, même regard d’ambre tenace et dur même force dans la stature.
Les invités au conseil prennent alors place autour de la table massive en chêne gravée d’une constellation que vous en connaissez pas.
Une fois les derniers membres du conseil assis le Baron prend alors la parole embrasant du regard la dizaine de membres du conseil:
" Dame Lusérina et Messieurs, je vous ai convoqué à ce Conseil d'Urgence en raison de vos responsabilités au sein du Village et de vos expériences militaires. Des responsabilités qui vous mettent en première ligne d'une réflexion et d'une action au service de Granl. Nous devons trouver ensemble, un moyen de repousser cette vague de Pillards.
voici les informations dont nous disposons actuellement énonce Sir de Cynferth en jetant une regard appuyé à Markand:
- Nous n'avons pour le moment aucune information sur le nombre de ces ennemis.
- Les fermes sont peut-être déjà la proie de ces barbares errants et je crains que nous soyons forcé de concentrer exclusivement nos défenses sur le village.
- Je vous rappelle que l'Or et le Crépuscule des Terres Divines nous coupe mortellement de toute autre ville ou comté. Chacun est occupé à défendre sa peau contre les Hordes barbares que le départ de nos Héros vers le Palais des Dieux a réveillée. Nous ne pouvons donc attendre aucune aide extérieure.
- Comment voyez vous la défense du village ? Devons nous attaquer les pillards maintenant ? si oui avec quelles forces ? Pensez vous que nous devrions tenter de défendre le village , ou au contraire de tenter une bataille rangée avec la force conjuguée de la cavalerie de la Garde de l’Aube et celle de mes soldats ?
Bref où devons défendre, attaquer et surtout quand?
Il nous reste plus beaucoup de temps avant le coucher du soleil. Parlez et agissons vite, mais sans précipitation inutile. "
=====
[Hrp] Pas de résolution pour les défenseurs. Hormis Zhan qui comme il n'as posté ne s'est pas encore rendu au rdv rp parlant. Il arrivera donc en retard ou ne viendra pas . A lui de choisir.
Carnus vu que personne ne te répond, tu peux interpréter un PNj lambda qui te répond ou alors choisir que tu es volontairement ignoré, craint ou fui par les gens du village.
Mac Bonald possède une influence diplomatique avec Bold le dirigeant de la scierie et d'une influence religieuse qu'il peut utiliser dans la discussion. Et Lusérina dispose d'une influence sur le Baron de Cynferth.
Pour plus d'information sur l'utilisation des influence reportez vous au post du visium dans le topic Hrp de la quête.[/Hrp]
Vous traversé la cour envahie par les réfugiés du villages qui n’ont pas réussis à trouver une place dans les salles du chateau. Deux ou trois feu commence déja à s’allumer pour la cuisine du soir. Vous hâtez le pas, vous ne voudriez pas être en retard au rendez vous que vous à fixé Sir de Cynferth. Vous franchissez d'un pas rapide la porte qui ouvre sur l’escalier ouest du château et vous montez les marche jusqu’au premier étage. Là vous débouchez sur un palier de deux mètres carrés où déjà plusieurs personnes semble discuter dans l’éclairage du soleil couchant qui passe à travers le papier huilé de la fenêtre.
Vous reconnaissez à son visage jovial l'abbé Mc Bonald, Harold le menuisier du village et la commerçante Lusérina en pleine discussion dans un angle du palier et dans un autre angle un peu à l’écart l’homme qui possède la plus forte carrure du village: c’est Bold le dirigeant de la scierie.
Au milieu du pallier le second de la Garde de l’Aube reconnaissable à son tabar bleu ciel, le responsable des Chercheurs d'émeraude de la région et le tenancier du Nain Bougon - nommé Gérard Bougon sont en pleine discussion et visiblement partage le même avis sur le sujet dont ils parlent.
Vous voila rassuré, vous n’êtes pas en retard. C’est alors que vous prêtez un peu plus d’attention à la porte de chêne massif, mal fermé à cause de l’humidité, que tout le monde semble éviter avec soin.
Vous vous en rapprochez et vous comprenez la cause du malaise des autres invités au conseil.
Dans la porte entrouvert vous voyez le Baron en pleine discussion avec Markand le chef de la garde de l’aube qui occupe depuis maintenant 3 mois, l’ancienne barbacane désaffecté au sud est du château.
Aux éclats de voix qui vous parvienne et à la couleur du visage des deux protagonistes vous comprenez que la discussion semble avoir pris un mauvais bord:
Georferd de Cynferth: "Markand vous êtes indigne de ma confiance!
Cela fait quatre heure que vos gents ont capturés trois bandits à l'entrée du village et vous ne m’avez même pas fait parvenir un seul message pour m’informer des informations que vous avez recueilli depuis tout ce temps. Si aucun villageois n’étais venu me prévenir je n’aurai même pas été au courant et j'aurai sans doute raté des informations cruciales pour la défense du village.
Encore si il n’y avais que cela, je vous aurais pardonné. Mais oser me refuser le soutient de vos hommes pour la défense du village en arguant que votre ordre de mission se borne seulement à la défense du château de Gnarl, ça je ne vous le pardonnerai jamais ! Ce château n’as aucune raison d'être si je laisse des pillards détruire les habitations des gens qui habitent sous sa protection.
Où est votre honneur Markand ? je vous parle de défendre le logis des mes vassaux. Pas d’affronter un cyclope en duel dans une arène! Et vous, vous oser me rétorquez que vous avez reçu des ordres vous demandant d’éviter toute perte humaine et que vous jugez le château plus sûr à défendre que le village? Vous n’avez aucun honneur Markand!"
Markand: Vous voulez poser carte sur table Baron ? Très bien. Vous n’avez pas confiance en moi ? et bien moi non plus je en vais pas vous le cacher, je n’ai pas confiance en vous !
Votre sens de l’honneur et du devoir n’a aucun sens pour des gens qui connaissent la réalité de la vie, Sir.
La vie est dure! Et putain bien assez pour qu’on en rajoute!
Des types comme vous j’en ai déjà croisé des dizaines sur des champs de bataille, étendu sur le sol boueux de sang, parce qu’ils avaient sous estimés leurs ennemis et surestimé leurs forces.
Les pillards ne nous ferons aucune merci soyez en certain, alors inutile de risquer la vie de vos hommes dans le village alors qu’une fois acculée à la forteresse les pillards se rendront vite compte de leurs impuissance.
Quand à mes hommes..."
Quelqu’un vous écarte de la porte et la pousse en entrant, provoquant ainsi l’interruption de la discussion qui commençait à s’échauffer.
Le jeune homme qui viens de vous bousculer vous le reconnaissez lorsqu’il s’approche de son père, en effet la ressemblance est frappante, même regard d’ambre tenace et dur même force dans la stature.
Les invités au conseil prennent alors place autour de la table massive en chêne gravée d’une constellation que vous en connaissez pas.
Une fois les derniers membres du conseil assis le Baron prend alors la parole embrasant du regard la dizaine de membres du conseil:
" Dame Lusérina et Messieurs, je vous ai convoqué à ce Conseil d'Urgence en raison de vos responsabilités au sein du Village et de vos expériences militaires. Des responsabilités qui vous mettent en première ligne d'une réflexion et d'une action au service de Granl. Nous devons trouver ensemble, un moyen de repousser cette vague de Pillards.
voici les informations dont nous disposons actuellement énonce Sir de Cynferth en jetant une regard appuyé à Markand:
- Nous n'avons pour le moment aucune information sur le nombre de ces ennemis.
- Les fermes sont peut-être déjà la proie de ces barbares errants et je crains que nous soyons forcé de concentrer exclusivement nos défenses sur le village.
- Je vous rappelle que l'Or et le Crépuscule des Terres Divines nous coupe mortellement de toute autre ville ou comté. Chacun est occupé à défendre sa peau contre les Hordes barbares que le départ de nos Héros vers le Palais des Dieux a réveillée. Nous ne pouvons donc attendre aucune aide extérieure.
- Comment voyez vous la défense du village ? Devons nous attaquer les pillards maintenant ? si oui avec quelles forces ? Pensez vous que nous devrions tenter de défendre le village , ou au contraire de tenter une bataille rangée avec la force conjuguée de la cavalerie de la Garde de l’Aube et celle de mes soldats ?
Bref où devons défendre, attaquer et surtout quand?
Il nous reste plus beaucoup de temps avant le coucher du soleil. Parlez et agissons vite, mais sans précipitation inutile. "
=====
[Hrp] Pas de résolution pour les défenseurs. Hormis Zhan qui comme il n'as posté ne s'est pas encore rendu au rdv rp parlant. Il arrivera donc en retard ou ne viendra pas . A lui de choisir.
Carnus vu que personne ne te répond, tu peux interpréter un PNj lambda qui te répond ou alors choisir que tu es volontairement ignoré, craint ou fui par les gens du village.
Mac Bonald possède une influence diplomatique avec Bold le dirigeant de la scierie et d'une influence religieuse qu'il peut utiliser dans la discussion. Et Lusérina dispose d'une influence sur le Baron de Cynferth.
Pour plus d'information sur l'utilisation des influence reportez vous au post du visium dans le topic Hrp de la quête.[/Hrp]
Dernière modification par Visium le 16 mars 2015, 22:37, modifié 1 fois.
Re: [Quête officielle] Pillage sur l’île
Le conseil de guerre exceptionnel avait commencé, et les dires du Baron de Cynferth étaient plus qu’alarmant.
C’était claire, la situation nous échappait complètement parce que nous ne savions pas a qui nous avions à faire, comment avaient t’ils réussi leurs pillages et leurs invasions et surtout quel était le but de ce pillage ?
Cherchaient-ils des trésors cachés dans notre si petit village ?
Les idées du baron étaient honorables, mais j’ai bien peur qu’il amène nos villageois à la mort direct. Attaque de front sans avoir d’informations étaient suicidaire.
Surtout que nous ne pouvions comptez que sur nous, les grands héros de ses terres étaient occupé dans les cieux .
Je m’adossai contre le mur et le fixais le Baron de Cynferth
« Mon Baron, avec tout le respect que je vous dois, je ne pense pas qu’attaquer est la meilleur solution à l’heure actuelle. On ne sait pas du tout qui nous avons à faire, et surtout que viennent t’il chercher.
De nombreuses légendes parlent de villages pillées, donc ses vermines doivent avoir un but . A moins que la folie de ses terres ait ravagé leur peu d’humanité. »
Je passais une main dans mes cheveux afin de discipliner une mèche rebelle depuis toujours. Et je continuais d’exposer mon idée au Baron
« Il faudrait envoyer une troupe d’éclaireur cette nuit afin d’en apprendre plus sur la situation. Des personnes agile et surtout discrète. Foncer tête baissé se ferait que précipiter notre perte. Nous devons nous défendre certes, mais ils faut connaitre un peu a qui on a a faire.
J’étais prêtre à trancher des gorges s’il le fallait mais afin de préparer nos défenses il fallait agir autrement, sans informations nous étions perdues.
« Il faut utiliser la ruse.
Les éclaireurs – si bien sur c’est la solution que vous prenez- pourront nous donner des informations capitales sur nos ennemis.
Comment croyez vous que j’arrive à faire vivre mon épicerie et avoir les meilleurs profits pour améliorer mon étal et la qualité de la marchandise.
J’étudie, je prospecte et je cherche les meilleurs moments et les meilleurs atouts des produits.
Le faire sans connaitre le marché serait réellement inconscient et vouée à l’échec.
Je ne suis pas une as de la stratégie et des batailles rangées, je suis même une novice en matière de combat – j’empoignais mon épée dans un même moment – mais je suis prêtre a tout pour vous défendre et défendre les miens. Ses vermines n’auront pas le dernier mot. »
Je soupirais , j’étais vraiment inquiète de la situation et surtout complètement à la merci de la décision de mon Baron .
HRP :
Lusérina a lancé 1 dé à 100 faces
Jet N°1 Résultat 48
La pire des perversions n'est rien par rapport aux sévices que peut infliger une Chamane.
La corruption de mon âme sera à la hauteur de la souffrance ressentie...
La corruption de mon âme sera à la hauteur de la souffrance ressentie...
Re: [Quête officielle] Pillage sur l’île
Je suis encore une fois délaissé...
Qu'il est dommage, venant d'êtres humains de rejeter leurs pairs au loin... en plus, je suis le plus exposé ici : je suis dans le village moi.
Non pas que je ne pourrais pas ne pas y être, mais je pourrais être ailleurs aussi... dans le château par exemple ?
Si seulement ils m'avaient ouvert la porte, je n'aurai pas eu à prendre des mesures extrêmes.
Mais voilà : le destin était scellé. Je partit donc vers l'horizon nouveau qui s'offrait de l'autre autre côté des portes du château : le village. Comme je m'étais manifestement perdu et n'avait pas suivi mon chemin, je suivis mon instinct supérieur pour aller à un endroit indéfini dans la définition de l'univers.
Et c'est comme ça que je me retrouvai devant la porte de l'église : le meilleur endroit pour s'adonner à la nonchalance absolue générée par la réflexion sur l'Univers, la Magie et les chevaux. Car les chevaux sont des mystères de l'Univers tout autant que les femmes et la Magie.
Ainsi, j'entrais dans l'église, et fermais la première porte. Je la scellais par magie avec un sort dont moi seul possédait le secret.
Je reculais et me dis qu'un peu de rose serait un bonne idée, aussi la porte brillait de nombreuses paillettes indignes d'un adulte, mais fort dignes de moi et de ma perfection cérébrale.
Ensuite, j'entrais dans la nef et avançais : de là, je me mis à colorer certaines des dalles en légèrement plus foncé que ce qu'elles étaient jusqu'ici, et recouvrit l'ensemble d'une fine couche de brouillard bleuté de tout beauté.
Enfin, j'approchais de l'autel, et m'assis dessus, contemplant le vitrail derrière, et donc tournant le dos à la porte. Je réfléchissait à toute sortes de choses donc j'oubliais bien vite la teneur, mais de toute façon, à quoi bon savoir à quoi je pensais, puisque j'y pensais de toute façon ?
J'attendrais donc ici que quelqu'un de moins ingrat que le châtelain veuille bien de ma compagnie et de ma magie. Et de mes réflexions sur les chevaux.
Qu'il est dommage, venant d'êtres humains de rejeter leurs pairs au loin... en plus, je suis le plus exposé ici : je suis dans le village moi.
Non pas que je ne pourrais pas ne pas y être, mais je pourrais être ailleurs aussi... dans le château par exemple ?
Si seulement ils m'avaient ouvert la porte, je n'aurai pas eu à prendre des mesures extrêmes.
Mais voilà : le destin était scellé. Je partit donc vers l'horizon nouveau qui s'offrait de l'autre autre côté des portes du château : le village. Comme je m'étais manifestement perdu et n'avait pas suivi mon chemin, je suivis mon instinct supérieur pour aller à un endroit indéfini dans la définition de l'univers.
Et c'est comme ça que je me retrouvai devant la porte de l'église : le meilleur endroit pour s'adonner à la nonchalance absolue générée par la réflexion sur l'Univers, la Magie et les chevaux. Car les chevaux sont des mystères de l'Univers tout autant que les femmes et la Magie.
Ainsi, j'entrais dans l'église, et fermais la première porte. Je la scellais par magie avec un sort dont moi seul possédait le secret.
Je reculais et me dis qu'un peu de rose serait un bonne idée, aussi la porte brillait de nombreuses paillettes indignes d'un adulte, mais fort dignes de moi et de ma perfection cérébrale.
Ensuite, j'entrais dans la nef et avançais : de là, je me mis à colorer certaines des dalles en légèrement plus foncé que ce qu'elles étaient jusqu'ici, et recouvrit l'ensemble d'une fine couche de brouillard bleuté de tout beauté.
Enfin, j'approchais de l'autel, et m'assis dessus, contemplant le vitrail derrière, et donc tournant le dos à la porte. Je réfléchissait à toute sortes de choses donc j'oubliais bien vite la teneur, mais de toute façon, à quoi bon savoir à quoi je pensais, puisque j'y pensais de toute façon ?
J'attendrais donc ici que quelqu'un de moins ingrat que le châtelain veuille bien de ma compagnie et de ma magie. Et de mes réflexions sur les chevaux.