Après le calme... la tempête ! [ouvert]
Publié : 27 mai 2014, 21:54
Après le calme... la tempête !
Ce jour-ci, sur les Terres Divines, le temps tourna à l'orage. Pourtant les agriculteurs du coin n'avaient rien prédit de tel. Le vent montaient de plus en plus en puissance, agitant les arbres comme de vulgaires roseaux. Les nuages noirs arrivaient, menaçants, tous prêt à faire tomber leur cargaison d'eau sur les pauvres âmes qui se promenaient tranquillement et notamment sur une âme en particulier et qui ne se douterait pas un instant que sa journée n'allait pas finir de le surprendre.
La scène se passe dans les bois proche du village d'Urpis, un humain s'élançait au galop, assit sur le devant de sa carriole, flagellant à l'aide de ses rennes, son petit cheval. Les gouttes de pluie ruisselaient sur les vêtement d'été qu'il portait, une grimace s'affichait sur son visage. Le cheval quant à lui, montrait de la peur, ces bêtes n'étaient pas friands de ce genre de temps et surtout des temps orageux
- Sacreubleu ! rien n'va pus ! Même le temps s'barre en vrille...
A peine sa phrase était finie, qu'une série de coup de tonnerre se fit entendre. Son cheval fit un écart qui manqua de faire chavirer la carriole. Le conducteur s'arrêta et tenta de calmer l'animal, malgré la pluie qui tombait à grosse gouttes, il remarqua le filet de bave s'échappait de sa gueule.Le conducteur fronça les sourcils, il connaissait bien sa bête et la voir dans cet état ,même sous cet orage, ne signifiait rien de bon. La seconde qui suivit affirma son doute : un éclair zébra le ciel puis un grand bruit assourdissant. Le conducteur mit ses mains sur ses oreilles, il se tenait tant bien que mal, le coup de tonnerre frappa juste à coté, dans une clairière avoisinante. Il voyait trouble et tanguait. Il apercevait tout de même son cheval devenu hystérique qui allait et venait entre les barre de traction de la carriole.
- Allez, mon beau... allez... c'est rien... tu...
le conducteur regardait l'impact de l'éclair qui était visible depuis la route et fronça une fois de plus les sourcils. Quelque chose attira son attention dans le fameux cratère.
- Bouge surtout pas d'la... j'ai cru voir un truc...
Il lacha les rennes de son cheval sans quitter le cratère des yeux. La pluie continuait à tomber de façon constante, elle ruisselait abondement le long de ses cheveux crasseux et de ses habits. Il approcha lentement du cratère avant de s'écrier :
- Nom d'un... par Iridius... qu'est c'que c'est qu'ça ?
Un jeune homme nu était étendu dans le fond du cratère, recroquevillé sur lui même. Il avait l'air inconscient malgré la pluie qui lui tombait dessus, il avait le teint très pâle et les cheveux blanc. L'homme attrapa un morceau de bois qui trainait non loin et tapa doucement le corps du jeune homme mais rien ne se passa. Il retenta une seconde fois et un éclair apparut dans le ciel, en même temps que le corps du jeune se mit à bouger. Le conducteur sursauta de peur, le jeune homme était vivant et il semblait greloter. L'homme déglutit puis après un petit moment d'absence, décida d'aller chercher une couverture ou quoi que ce soit pour recouvrir le jeune homme.
A quelque pas, seulement de sa carriole, le conducteur s’arrêta net et regarda en direction des fourrés avoisinant. Quelque chose bougea, une bête sauvage ou des voleurs... le jeune homme était peut être une ruse et il venait de se faire avoir. trois hommes sortirent des fourrées armés de couteaux et de dagues, ils encerclèrent le conducteur en ricanant.
- alors, on vient jeter ses cadavres dans les bois... pas très joli tout ça...hum, allez on dira rien si tu nous donnes tout ce que tu as !!
Le conducteur n'eut pas le temps de répondre ou de se préparer à se défendre car son interlocuteur se rua vers lui afin de lui assener un coup à la tête. Le bandit s'arrêta net à quelque centimètres, il se tordit de douleur puis de la vapeur s'échappa des vêtement du malfrat quand la pluie lui tombait dessus, ce dernier criait encore plus de douleur et une violente flamme l'enveloppa et le consuma instantanément sur place. les deux autres bandits et le conducteur restèrent bouche bée puis, par réflexes se tournèrent vers de petits bruits de halètement. Ils découvrirent le jeune homme au chevaux blancs qui se tenait difficilement debout, un bras tendu devant lui, l'autre pendant le long de son corps. Une aura dorée l'enveloppait et une source lumineuse dorée, elle aussi, sur la paume de la main de son bras tendu.
Les deux autres bandits hurlèrent au massacre contre le jeune homme et se ruèrent vers lui. Ce dernier, par réflexe, se protégea le visage de ses deux bras afin d'encaisser l'impact mais rien ne se passa. L'air se rafraichit d'un seul coup, il écarta ses bras et découvrit avec stupeur que les bandits étaient entièrement enseveli sous la glace. Le jeune homme regarda ses mains encore tremblante, l'aura le recouvrant s'atténuait fortement puis il s'évanouit.
Il se réveilla en sursaut, réveiller par les ballotements de la carriole et aperçut le conducteur de dos qui fut alerter par son réveil. Le temps était clair, pas de vent, quelques nuages blancs se baladaient tranquillement dans le ciel. le conducteur le pria de se calmer, ce qu'il fit instinctivement, il lui demanda aussi, s'il était un suceur de sang humain et comment il s'appelait. le jeune homme lui répondit :
- Je ne sais pas de quoi tu parles, mais je ne suis pas un suceur de sang, pourquoi ?
l'homme lui répondit qu'il avait remarqué la dentition du jeune homme et que c'était les mêmes canines que ceux que l'on appelle vampire par ici. Ce dernier ne semblait pas choqué mais intrigué.
- Ah et je m'appelle Lazare, et je n'ai pas d'autres souvenirs.
Le conducteur le questionna sur ces fameuses marque sur ses paumes : un tatouage représentant une balance et un oeil au niveau de son pivot. Lazare lui répondit qu'il ne savait pas non plus. L'homme le déposa devant la cité du nom d'Urpis et lui indiqua le marché et peut être trouver de quoi l'aider.
Lazare salua le conducteur qui s'éloignait au loin et s'engouffra dans le village, habillé de guenilles, en direction du marché, en quête de réponses...
Ce jour-ci, sur les Terres Divines, le temps tourna à l'orage. Pourtant les agriculteurs du coin n'avaient rien prédit de tel. Le vent montaient de plus en plus en puissance, agitant les arbres comme de vulgaires roseaux. Les nuages noirs arrivaient, menaçants, tous prêt à faire tomber leur cargaison d'eau sur les pauvres âmes qui se promenaient tranquillement et notamment sur une âme en particulier et qui ne se douterait pas un instant que sa journée n'allait pas finir de le surprendre.
La scène se passe dans les bois proche du village d'Urpis, un humain s'élançait au galop, assit sur le devant de sa carriole, flagellant à l'aide de ses rennes, son petit cheval. Les gouttes de pluie ruisselaient sur les vêtement d'été qu'il portait, une grimace s'affichait sur son visage. Le cheval quant à lui, montrait de la peur, ces bêtes n'étaient pas friands de ce genre de temps et surtout des temps orageux
- Sacreubleu ! rien n'va pus ! Même le temps s'barre en vrille...
A peine sa phrase était finie, qu'une série de coup de tonnerre se fit entendre. Son cheval fit un écart qui manqua de faire chavirer la carriole. Le conducteur s'arrêta et tenta de calmer l'animal, malgré la pluie qui tombait à grosse gouttes, il remarqua le filet de bave s'échappait de sa gueule.Le conducteur fronça les sourcils, il connaissait bien sa bête et la voir dans cet état ,même sous cet orage, ne signifiait rien de bon. La seconde qui suivit affirma son doute : un éclair zébra le ciel puis un grand bruit assourdissant. Le conducteur mit ses mains sur ses oreilles, il se tenait tant bien que mal, le coup de tonnerre frappa juste à coté, dans une clairière avoisinante. Il voyait trouble et tanguait. Il apercevait tout de même son cheval devenu hystérique qui allait et venait entre les barre de traction de la carriole.
- Allez, mon beau... allez... c'est rien... tu...
le conducteur regardait l'impact de l'éclair qui était visible depuis la route et fronça une fois de plus les sourcils. Quelque chose attira son attention dans le fameux cratère.
- Bouge surtout pas d'la... j'ai cru voir un truc...
Il lacha les rennes de son cheval sans quitter le cratère des yeux. La pluie continuait à tomber de façon constante, elle ruisselait abondement le long de ses cheveux crasseux et de ses habits. Il approcha lentement du cratère avant de s'écrier :
- Nom d'un... par Iridius... qu'est c'que c'est qu'ça ?
Un jeune homme nu était étendu dans le fond du cratère, recroquevillé sur lui même. Il avait l'air inconscient malgré la pluie qui lui tombait dessus, il avait le teint très pâle et les cheveux blanc. L'homme attrapa un morceau de bois qui trainait non loin et tapa doucement le corps du jeune homme mais rien ne se passa. Il retenta une seconde fois et un éclair apparut dans le ciel, en même temps que le corps du jeune se mit à bouger. Le conducteur sursauta de peur, le jeune homme était vivant et il semblait greloter. L'homme déglutit puis après un petit moment d'absence, décida d'aller chercher une couverture ou quoi que ce soit pour recouvrir le jeune homme.
A quelque pas, seulement de sa carriole, le conducteur s’arrêta net et regarda en direction des fourrés avoisinant. Quelque chose bougea, une bête sauvage ou des voleurs... le jeune homme était peut être une ruse et il venait de se faire avoir. trois hommes sortirent des fourrées armés de couteaux et de dagues, ils encerclèrent le conducteur en ricanant.
- alors, on vient jeter ses cadavres dans les bois... pas très joli tout ça...hum, allez on dira rien si tu nous donnes tout ce que tu as !!
Le conducteur n'eut pas le temps de répondre ou de se préparer à se défendre car son interlocuteur se rua vers lui afin de lui assener un coup à la tête. Le bandit s'arrêta net à quelque centimètres, il se tordit de douleur puis de la vapeur s'échappa des vêtement du malfrat quand la pluie lui tombait dessus, ce dernier criait encore plus de douleur et une violente flamme l'enveloppa et le consuma instantanément sur place. les deux autres bandits et le conducteur restèrent bouche bée puis, par réflexes se tournèrent vers de petits bruits de halètement. Ils découvrirent le jeune homme au chevaux blancs qui se tenait difficilement debout, un bras tendu devant lui, l'autre pendant le long de son corps. Une aura dorée l'enveloppait et une source lumineuse dorée, elle aussi, sur la paume de la main de son bras tendu.
Les deux autres bandits hurlèrent au massacre contre le jeune homme et se ruèrent vers lui. Ce dernier, par réflexe, se protégea le visage de ses deux bras afin d'encaisser l'impact mais rien ne se passa. L'air se rafraichit d'un seul coup, il écarta ses bras et découvrit avec stupeur que les bandits étaient entièrement enseveli sous la glace. Le jeune homme regarda ses mains encore tremblante, l'aura le recouvrant s'atténuait fortement puis il s'évanouit.
Il se réveilla en sursaut, réveiller par les ballotements de la carriole et aperçut le conducteur de dos qui fut alerter par son réveil. Le temps était clair, pas de vent, quelques nuages blancs se baladaient tranquillement dans le ciel. le conducteur le pria de se calmer, ce qu'il fit instinctivement, il lui demanda aussi, s'il était un suceur de sang humain et comment il s'appelait. le jeune homme lui répondit :
- Je ne sais pas de quoi tu parles, mais je ne suis pas un suceur de sang, pourquoi ?
l'homme lui répondit qu'il avait remarqué la dentition du jeune homme et que c'était les mêmes canines que ceux que l'on appelle vampire par ici. Ce dernier ne semblait pas choqué mais intrigué.
- Ah et je m'appelle Lazare, et je n'ai pas d'autres souvenirs.
Le conducteur le questionna sur ces fameuses marque sur ses paumes : un tatouage représentant une balance et un oeil au niveau de son pivot. Lazare lui répondit qu'il ne savait pas non plus. L'homme le déposa devant la cité du nom d'Urpis et lui indiqua le marché et peut être trouver de quoi l'aider.
Lazare salua le conducteur qui s'éloignait au loin et s'engouffra dans le village, habillé de guenilles, en direction du marché, en quête de réponses...